Chère Madame, Cher Monsieur,
Pour les gardiens de la pensée unique, une voix dissidente dans les médias c'est encore trop…
Et sans votre aide aujourd'hui même, vos éditorialistes préférés risquent d'être définitivement privés d'antenne.
Sonia Devillers, journaliste sur France Inter, vient en effet d'exhorter le CSA, Conseil supérieur de l'audiovisuel, à sévir contre le "virage ultra-droitier" (sic) des chaînes d'information !
Dans son collimateur : une poignée d'esprits libres qu'elle a nommément pris pour cibles, comme Eric Zemmour, Michel Onfray ou encore Gabrielle Cluzel, la rédactrice en chef de votre journal Boulevard Voltaire…
Avec un but très clair : faire comptabiliser les interventions de ces éditorialistes parmi celles des partis politiques, pour restreindre de façon draconienne leur temps d'antenne.
Le CSA n'a pas dit non. Au contraire. "C'est un sujet sur lequel on va ouvrir une réflexion" a même précisé son président.
Et l'on peut compter sur tout ce beau monde. Ils plancheront jusqu'à trouver le moyen, l'occasion, le prétexte, de donner suite à cette nouvelle censure. Et empêcher qu'il y ait, dans les médias, ne serait-ce qu'une goutte de débat dans l'océan de pensée unique. Etre indépendant, comme nous le sommes à Boulevard Voltaire, pour ces censeurs, c’est être partisan !
Trop, c'est trop !
Car, faut-il le rappeler, l'ensemble de l'audiovisuel vit largement de vos impôts. Et déverse à longueur d'antenne, avec votre argent, un flot d'informations médiatiquement correct.
De notre côté, ce sont des années d'efforts communs, sans un centime d'argent public, qui ont permis à Boulevard Voltaire d'émettre sans relâche de l'information alternative de qualité…
… au point d'être maintenant présents sur les plateaux TV et d'apporter ainsi à toujours plus de Français les informations et analyses alternatives qu'ils n'ont pas ailleurs.
C'est évidemment cette dynamique du succès qui fait enrager les gardiens de la pensée unique, et déclenche ces nouvelles attaques intolérables.
Car voici les informations et analyses qu'ils voudraient tant cacher et que nous faisons découvrir à un public de plus en plus large. Par exemple :
- les chiffres cachés de l'immigration : chaque mois, selon la Commission européenne, ce sont plusieurs milliers de demandeurs d'asile, bien identifiés par l'État, qui ne sont pas comptabilisés dans les statistiques officielles.
- la réalité de l'insécurité, bien loin du soi-disant "sentiment d'insécurité", avec 120 attaques au couteau perpétrées chaque jour en France.
- les mensonges de la repentance : entre le XVIe et le XVIIIe siècle, les seuls marchands de Tunis, Alger et Tripoli réduisirent plus d'un million d'Européens en esclavage.
- les délires du féminisme : réunion à l'université Panthéon-Sorbonne interdite aux hommes sauf homosexuels, hôtesses du Tour de France sommées de respecter la parité, attaques contre Beethoven et la musique classique accusée d'incarner le patriarcat…
Et bien d'autres sujets si importants pour notre avenir et celui de nos enfants.
Cela ne fait aucun doute : les gardiens du médiatiquement correct feront tout pour nous empêcher de diffuser cette contre-information. Ils feront tout pour nous bâillonner, pour nous dégager des chaînes de télévision qui amplifient notre audience.
Aujourd'hui, nous avons une seule riposte possible : devenir encore plus forts, à chacune de leurs attaques.
Alors nous espérons que nous pouvons compter sur vous pour développer encore plus notre média libre. Et faire découvrir à des milliers de nouveaux lecteurs toutes ces informations que les gardiens de la pensée unique font tout pour leur cacher.
Pour faire connaître notre média indépendant à 50.000 personnes supplémentaires pour leur diffuser notre contre-information, il faut que nous arrivions à collecter un budget de 35.000 euros.
Avec votre aide, c'est possible.
C'est pourquoi nous nous permettons de vous le demander : pouvez-vous soutenir Boulevard Voltaire par un don de 30 euros par exemple ? Vous pouvez aussi décider de vous engager plus avant dans notre action pour la liberté d'expression et d'information, et de donner 50 euros, 100 euros, 200 euros ou même plus.
C'est vous seul qui décidez du montant que vous souhaitez dédier à ce combat pour contrer ces attaques et préserver la liberté d'expression et d'information en France.
Pour faire votre don – du montant de votre choix, par carte bancaire ou Paypal, par chèque ou prélèvement – il vous suffit de cliquer sur ce bouton :